J'ai peint ces tableaux en mars 2011, après le tsunami au Japon, avec une allusion au poème «L’apprenti sorcier» de Johann Wolfgang von Goethe.
Un jeune apprenti sorcier tente, en l'absence de son maître, de faire de la magie. Il anime un balai et lui assigne un travail. Mais ne pouvant bientôt plus contrôler le balai,
l'apprenti frôle la castastrophe.
À la fin le maître revient et rétablit l'ordre.
Herr, die Noth ist groß!
Die ich rief, die Geister,
Werd’ ich nun nicht los.
Maître, le péril est grand ;
les Esprits que j’ai évoqués,
je ne peux plus m’en débarrasser.